Pour les cafés, hôtels, restaurants (CHR), rien ne sera plus comme avant le coronavirus. A la fin du confinement, lorsque l’activité reprendra, les clients, mais aussi le personnel, seront extrêmement attentifs à l’hygiène et à la sécurité. Les buffets où chacun vient se servir, avec les mêmes couverts, en se penchant au-dessus des plats, seront sans doute considérés comme un risque sanitaire inacceptable. Qui n’a jamais récupéré une cuillère tombée dans un plat ? Qui n’a jamais poursuivi une conversation à proximité de la nourriture sans prendre garde aux gouttelettes qui pouvaient voyager jusque-là ? On n’y faisait guère attention jusqu’ici. Ce ne sera plus le cas désormais.
Le service du vin au verre, lui aussi, va changer. On ne pourra plus, comme on le faisait hier, ouvrir une bouteille et la laisser près du comptoir, à portée du personnel, tout au long du service. Trop de risques de contamination, même en étant très prudent. Il y a encore quelques semaines, une bouteille destinée à la consommation au verre était touchée par de nombreuses mains. Les clients ne le voudront plus.
Pourtant, le vin au verre va continuer à remporter les suffrages des consommateurs. Car la crise du Covid va renforcer la tendance déjà forte à lutter contre la perte et le gaspillage. Au restaurant, les clients préféraient déjà, avant la crise, choisir chacun leur vin et maîtriser ainsi leur consommation plutôt que de commander une bouteille qui ne serait peut-être pas terminée à la fin du repas. Ce sera encore davantage le cas dans les mois et les années qui viennent.
Le bar à vin Edgar, conçu et fabriqué en France par la société Mywah, a donc l’avenir devant lui : il sert le vin au verre dans de très bonnes conditions d’hygiène. Le vin coule directement de l’éco-recharge, étanche à l’air, dans le verre. Les sources de contamination sont réduites : pas de bouteille ouverte depuis plusieurs heures ou plusieurs jours, pas de bouchon qu’on enlève et qu’on remet sans cesse durant le service. Edgar contribue à la lutte contre le gaspillage : le vin bouchonné ou corrompu par l’oxygène n’existe pas avec ce conditionnement. Non seulement chaque verre est servi à la bonne température immédiatement, mais il est servi rapidement (150 verres/heure), en toute sécurité. Le volume (verre ou pichet) est extrêmement précis. L’éco-recharge de 3 ou 5 litres sera bientôt entièrement recyclable. Elle préserve les qualités du vin jusqu’à 8 semaines après ouverture, puisque le vin y est à l’abri de l’air.
Edgar répond aussi à l’impératif actuel de traçabilité : on sait d’où vient le vin, sa qualité « bio » est garantie. Le client sait exactement ce qu’il boit : l’écran de la machine lui présente toutes les informations utiles sur le vin, son origine, le cépage, le producteur… Le gérant du CHR de son côté reçoit en temps réel les données sur le nombre de verres servis, à quel moment, par quel personnel, etc. A noter aussi qu’Edgar peut fonctionner en libre-service, avec un système de paiement sans contact. Là encore, la machine présente de très bonnes garanties d’hygiène et de sécurité.
Edgar contribue également à la préservation de l’environnement, puisqu’il n’utilise ni gaz alimentaire ni bouteilles. La gestion des déchets en est évidemment simplifiée, d’autant que l’éco-recharge, une fois vide, prend moins de place qu’un cahier d’écolier. Par rapport aux autres conditionnements (bouteille en verre, plastique, carton, BIB…), elle présente le meilleur bilan d’analyse du cycle de vie (ACV).
Un service sûr, rapide et sans gaspillage : c’est tout ce qu’exige l’époque de l’après Covid.