Huit Français sur 10 commandent prioritairement du vin au verre au restaurant. Ce n’était pas le cas il y a encore quelques années. Et ce n’est pas étonnant : la manière dont on consomme le vin a complètement changé. Le client préfère la qualité à la quantité. Il veut pouvoir accorder le vin avec les mets, découvrir de nouveaux crus et de nouveaux terroirs sans crainte de se tromper, maîtriser sa consommation et son budget. Autrement dit, il boit moins, mais mieux.
Les restaurants se sont adaptés à cette nouvelle donne, même si elle leur pose des problèmes : plus de 9 établissements sur 10 proposent aujourd’hui une carte de vins au verre. Alors que la consommation de vin baisse régulièrement, les bars à vin se multiplient à Paris et dans les grandes villes. Car le statut même du vin a changé : ce n’est plus une composante obligée d’un repas, c’est devenu une boisson associée au plaisir et à la fête. On le boit de plus en plus souvent à l’apéritif. Les consommateurs réguliers cèdent le pas devant les occasionnels. Tout cela contribue à la montée en puissance du vin au verre, que ce soit au restaurant ou à la maison.
Le phénomène du vin au verre va prendre encore de l’ampleur, d’autant que des solutions innovantes lèvent les obstacles à ce mode de consommation : les fontaines à vin comme Edgar préservent les qualités du vin et permettent de le servir à la juste température, immédiatement et en continu. Elles simplifient le service, réduisent le gaspillage, font gagner du temps et évitent d’avoir à manipuler et stocker les bouteilles.
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